
Une promenade au square entre une mère et sa déjà trop grande fille. Un bref instant pour raconter les ambivalences, les liens complexes qui les unissent et les désunissent.
Attention, une déclaration auprès de la SACEM doit être faite pour toute projection du film (publique ou non publique).
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Cette fois c'est le grand jour ! Pour leur partie de Scrabble hebdomadaire, il a décidé de se jeter à l'eau et de lui déclarer sa flamme. Mais les mots lui manquent. La partie commence et c'est l'occasion pour lui de trouver dans les mots du jeu ceux qu'il n'ose prononcer à haute voix... ou pas.
Le regard de Joseph Minster, auteur-réalisateur :
« Un joli film malicieux et sans prétention. L’écriture burlesque de Cyril Jourdan est mise en valeur par un montage serré, et portée par l’interprétation de deux comédiens réjouissants !»
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Alban, un trentenaire banal, prend son poste dans sa nouvelle entreprise. Il découvre que la copy-room est une pièce magique : tous les objets qui tombent sur le sol se dédoublent. Ce qu’il ignore, c’est que rien ne se perd, rien ne se crée... tout se transforme !
Le regard de Juliette Marrécau, autrice-réalisatrice (membre du comité de sélection 2025) :
«Dans une mise en scène non moins généreuse que minimaliste, le réalisateur nous raconte une petite histoire fantaisiste pour évoquer avec humour la grande histoire d'une économie individualiste qui mène la planète terre à sa perte. Comme dans le regard d’un Jacques Tati ou dans l’écriture d’un Nicolas Gogol, l'amusement du créateur est communicatif et parvient avec très peu d'éléments à nous faire rire du tragique de notre époque. »
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Le soir de la fête des planètes, le ciel brillera de mille feux. 6700 aéronefs quitteront le sol terrestre en direction des toutes nouvelles colonies Martiennes. Cette année, Ben et sa petite famille décolleront eux aussi.
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Nadia, 15 ans, doit s’occuper seule de l’éducation de son frère de 11 ans, de l’entretien de la maison et de ses études, sa mère étant en formation à l’autre bout de la France. Elle est totalement livrée à elle-même, aussi, lorsqu’un de ses camarades la provoque, Nadia explose : résultat, elle est exclue de l’école… Cette fois-ci, pas d’échappatoire possible : elle va devoir affronter sa mère et faire des choix.
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Suzanne se serait bien passée de revenir dans cette campagne qui l'a vue grandir. C’est son frère Anton qui a insisté pour qu’elle revoie enfin leur père. Avant qu’il ne soit trop tard ? Il faut dire que depuis quelque temps le vieil homme perd totalement la tête. Si les retrouvailles s’annoncent compliquées, ce que ne sait pas encore Anton, c’est que le retour d’une soeur peut bouleverser bien des vies. À commencer par la sienne.
Le retour de Stéphan Castang, auteur-réalisateur ::
"À travers un schéma apparemment classique : un demi-frère, une demi-soeur et les retrouvailles avec un père en fin de vie qui perd la raison, Franck Guérin distille une atmosphère douce à travers une mise en scène à la fois élégante et discrète qui ne verse jamais dans la trivialité. C’est un film finement écrit et ses personnages (interprétés avec beaucoup d’intelligence et d’inspiration) méritent la durée d’un moyen-métrage. Derrière cette apparente douceur, on perçoit au fil de Personne ne manque le trouble qui se cache dans toutes familles, et l’on devine, sans jamais vraiment oser le nommer, des secrets, des désirs qui ne peuvent s’exprimer.”

Ce sont de discrets héros qui mènent un combat quotidien pour comprendre la parole au prix d’efforts insoupçonnés.
Ils ne sont pas nés sourds mais le sont devenus. La langue des signes n’est pas leur monde.
Sans leurs appareils, ils n’entendent rien. Avec leur prothèse auditive ou leur implant cochléaire, ils ne perçoivent que les voyelles et quelques consonnes. Ils parlent si "normalement" que leur surdité est insoupçonnable et leur handicap invisible.
Un monde à part et méconnu : celui des "devenus sourds" qui veulent rester à tout prix dans la communauté des entendants.
Un film sensoriel qui propose une immersion acoustique et émotionnelle dans cet entre-deux-mondes.
Le regard d’Alexis De Raphelis, artiste et membre de l’association 47.2 (membre du comité de sélection 2025) :
« Ce documentaire d’une grande délicatesse nous introduit dans l'univers singulier des malentendant·e·s. À travers des voix intimes et précieuses, il explore l'existence avec un sens altéré : le rapport aux proches, aux espaces de travail, aux paysages. Le traitement du son, finement orchestré, amplifie chaque témoignage et confère à l'ensemble une résonance poétique. Une œuvre touchante, où le silence et les mots se mêlent pour révéler une humanité rare et profonde. »
Sous titrage pour sourds et malentendants.

Il a été ouvrier, cantonnier, balayeur. Elle a toujours été secrétaire. Mes parents s’inquiètent.
Pourquoi n’ai-je pas de travail après de longues études si chères ?
En mêlant le récit autobiographique à des instants de vie familiale, je tente de retranscrire le chemin parcouru entre rêves d’ascension sociale et désillusion.
Le regard d’Hervé Coqueret, vidéaste et membre de l’association 47.2 (membre du comité de sélection 2025) :
« Récit politique et rencontre avec la famille Coda qui vit en Franche-Comté. On entre dans leur maison, on les observe ramasser des patates au jardin, au boulot ou après le travail pour couper et charger du bois tous ensemble car ils n’arrêtent jamais. Lucile prend sa caméra pour filmer ses parents à main levée. C’est fragile et sensible comme une balade, un journal, une rencontre intime avec ces gens. Alors qu’est-ce qu’on va penser d’eux ? Forcément du bien car de rêve d’ascension sociale en désillusion, d’une vie d’ouvrier en départ en retraite, on est bouleversé par les parcours, les traits des visages ou la brume du village. Pour la beauté du geste et la teneur essentielle du propos. »
Attention, une déclaration auprès de la SACEM doit être faite pour toute projection du film (publique ou non publique).
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